dimanche 01 février 2015 – H
LA FETE A YOTANKA : LAETITIA SHERIFF + ROPOPOROSE + BRIC A B’ROCK (bourse aux disques…)
TA : 10 • TR : 10 • PT : 10 • SP : 10 • TU : abonné plein reduit sur-place • 1 place achetée pour le samedi = 1 place offerte pour le dimanche !
Le BRIC À B’ROCK de La Sirène est devenu le rendez-vous dominical incontournable pour tous les chineurs de vinyles, amateurs de musiques fraîches, collectionneurs de sons, spécialistes du triptyque sacré : édition / label / année, simples curieux, esthètes en l’air et promeneurs du dimanche, tous réunis le nez dans les bacs qui s’étalent sur leurs mètres linéaires dans la grande salle du Cap.
Outre les vinyles, certains exposants vous proposeront des livres sur la musique, des objets de déco rock’n’roll et autres instruments d’occasion. Du coup de coeur à la trouvaille, de la quête au hasard, du Saint Graal à la galette souvenir, tout le monde trouve son compte dans cette joyeuse journée qui est bien plus qu’une simple « bourse aux disques ».
De 10H à 14H c’est aussi : Brunch Party côté club. Habillage sonore FRENCH TOURIST
A 18H, La Sirène consacre sa soirée au label YOTANKA qui fêtera pour l’occasion son dixième anniversaire. Cette structure, née du côté de Lyon et installée depuis à Angers, rayonne aujourd’hui sur les terres de l’édition et de la production, avec un catalogue exigeant et protéiforme alliant rock, hip-hop, dub et électro. Les signatures du label ont pour nom: Zenzile, Von Pariahs, Laetitia Shériff, Bikini Machine, The Procussions, Psykick Lyrikah…
Depuis dix ans, la belle LAETITIA SHÉRIFF promène son inspiration éclectique et sa sensualité électrique au fil d’albums exigeants et de passionnants projets connexes (le collectif TRUNX, des ciné-concerts, des BO pour le théâtre, le cinéma, la danse, le documentaire). De Lille à Rennes, sa pop-rock épurée, mais résolument rêche et aventureuse, navigue de la poésie de Yeats à Sonic Youth, sur le fil de cette voix unique et d’une basse sournoise. En trio aujourd’hui avec Nicolas Courret à la batterie (Eiffel, Bed) et l’indispensable Thomas Poli aux guitares (Dominique A, Montgomery), elle livre Pandemonium Solace and Stars, son album le plus abouti, brillant d’une infatigable gourmandise et de magnifiques uppercuts sonores.
Depuis Vendôme et son festival des Rockomotives, le duo familial ROPOPOROSE concasse Arcade Fire et Les Pixies dans de fines et explosives vignettes arty-pop, impressionnantes de justesse et d’inspiration. Armés de leur grand bric-à-brac sonore (guitare, claviers, batterie, chant, répétiteurs), Pauline et Romain n’ont pas encore quarante bougies à eux deux, mais déjà le savoir-faire impressionnant des vieux briscards.